• Administration : Formant avec les autres TAAF un territoire d'outre-mer de la France depuis 1955, les îles Kerguelen sont administrées par un Administrateur Supérieur représentant le Gouvernement. 
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Description

Archipel français du sud de l'océan indien, les îles Kerguelen regroupent environ 300 îles et îlots d'origine volcanique. L'île Kerguelen est très montagneuse et compte plusieurs sommets d'une hauteur supérieure à 1200 mètres. La population de l'archipel est le personnel des stations scientifiques.
• Villes principales : Port-aux-Français (50 habitants pendant l'hiver austral et entre 80 et 100 résidents durant les missions scientifiques en été), Molloy (refuge), Port-Couvreux, Port Jeanne-d'Arc (anciennes habitations)
• Îles principales : Île Gaby, île Howe, île Kerguelen, île Longue, îles de la baie du Morbihan, îles Nuageuses, île de l'Ouest, île du Port, Îles du Prince de Monaco, île Sainte Lanne-Geamont, îles Swain, île Violetta
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Histoire

Découverte en 1772 par le navigateur français Yves Joseph, Grande Terre, la seule île importante de l'archipel des Kerguelen (jadis appelé îles de la Désolation), montagneuse, reçut la visite de James Cook qui y accosta en 1776.

Carte de Îles Kerguelen

• Histoire

Informations générales

• Chef-lieu : Saint-Pierre
• Coordonnées (1) : 46°50 N, 56°20 O
• Population(2) : 6530 habitants
• Superficie : 242 km²
• ZEE (3) : 10000 km²
• Monnaie : euro
• Statut : Collectivité d'outre-mer
• Densité : 27 hab/km²

• Administration : Le Préfet, lequel réside à Saint-Pierre, est le représentant de Saint-Pierre-et-Miquelon. L'archipel a un député et un sénateur au Parlement français. Il y a un conseil général de dix-neuf membres élus pour six ans. Saint-Pierre-et-Miquelon forme une collectivité territoriale. 
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Description

Saint-Pierre-et-Miquelon est un archipel au sud de la Terre-Neuve constitué de deux îles principales : l'île Saint-Pierre et l'île Miquelon. Les habitants sont pour la plupart les descendants des marins basques et normands qui se sont aventurés dans ces îles désolées dès le XVIIème siècle. La majorité de la population vit à Saint-Pierre, le chef-lieu (5580 habitants), Miquelon ne comptant que 697 habitants.
• Villes principales : Miquelon, Petit Barachois (sur Langlade), Saint-Pierre
• Îles principales : Grand Colombier, Langlade (ou Petite Miquelon), île aux Marins (ou île aux Chiens), Miquelon (ou Grande Miquelon), les Rochers, Saint-Pierre, Veaux maritimes, île Verte
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Histoire

L'explorateur portugais José Alvarez Fagundes aurait aperçu les îles de Saint-Pierre et de Miquelon vers 1520. Des pêcheurs français s'installent dans l'archipel en 1604. Après deux passages dans les mains de la Grande-Bretagne, l'archipel est restitué à la France définitivement par le traité de Paris de 1814. Après être devenu DOM en 1976, Saint-Pierre-et-Miquelon devient une collectivité territoriale en 1985. 

• Histoire   

Informations générales

• Chef-lieu : -
• Coordonnées (1) : 10°17 N, 109°13 O
• Population(2) : inhabité
• Superficie : 6 km²
• ZEE (3) : 425220 km²
• Statut : Domaine public de l'Etat
• Densité : 0 hab/km²

• Administration : Le statut de Clipperton est domaine public de l'Etat. L'île est administrée par le Haut-Commissaire de la Polynésie française. 
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Description

Clipperton est un atoll situé dans le Pacifique, à 1300 km à l'Ouest du Mexique. Clipperton n'est pas habité en permanence. Cependant une station météorologique automatique est présente sur l'île depuis 1980. Plus de onze millions de crabes et 30 000 oiseaux de mer vivent sur l'île. Quelques centaines de cocotiers et palmiers ont poussés ici et là sur le sol sableux et granuleux de Clipperton. Au Sud-Est, un rocher d'origine volcanique surplombe le reste de l'île. Un bâtiment de la marine française se rend annuellement à Clipperton afin d'y manifester la souveraineté française.

Histoire

L'atoll de Clipperton aurait été découvert par Magellan lors de son tour du monde. Le nom de l'île vient de l'année 1704 où le corsaire William Dampier débarqua le pirate anglais Clippington alias Clipperton sur l'île déserte. En 1711, deux navigateurs français, de Prudhomme et du Bocage, la rebaptisent "Île de la Passion". La compagnie américaine d'exploitation du guano revendique l'île en 1856 pour les Etats-Unis et se dispute avec le Mexique qui désire également exploiter le guano de Clipperton. C'est le 17 novembre 1858 que la France prend possession de Clipperton. En 1897, des militaires mexicains s'installent sur l'île de Clipperton. En 1906 la Compagnie  britannique des îles du Pacifique achète les droits d'exploitation du guano de Clipperton. Quelques installations sont alors construites (un phare, des baraquements, des rails...).  D'autres militaires mexicains sont envoyés sur l'île. Régulièrement, un bateau mexicain vient ravitailler la centaine de personnes (les militaires et leurs familles) qui vivent sur l'île. Alors commença une bien triste histoire : ce même navire ne revint plus sur l'île à cause de la révolution qui avait lieu au Mexique. En 1915 la plupart des habitants de l'île étaient morts. Le gouverneur mexicain de l'île refusa aux survivants de quitter l'île par bateau prétextant que cela n'était pas nécessaire. En 1917, la plupart des Mexicains étaient morts. Le gardien du phare, Alvarez, fut le dernier homme vivant sur l'île avec une quinzaine de femmes et d'enfants. S'autodéclarant "Roi de Clipperton" il infligea aux femmes des sévices sexuels. Une nuit, alors qu'il dormait, celles-ci le tuèrent à coups de marteau. Le lendemain même, un bateau américain, le USS Yorktown, qui venait vérifier s'il n'y avait pas de sous-marin allemand caché dans le lagon de Clipperton découvrit les quelques survivants de cette sinistre tragédie, trois femmes et deux enfants. Le roi d'Italie Victor Emmanuel III fut désigné pour arbitrer le conflit entre la France et le Mexique et attribua l'île à la France en 1931 alors que le président américain Franklin Roosevelt désirait faire de Clipperton une possession américaine pour y installer une base. Rattaché à la Polynésie Française en 1936, Clipperton est une base américaine en 1942. Elle est depuis 1986 domaine public de l'état, ce qui ouvre à la France l'une des zones les plus poissonneuses du monde. L'Académie des Sciences d'Outre-Mer proposa en 1981 de construire une piste d'envol pour avion, d'ouvrir le lagon pour y installer un port et de doter l'île d'habitants mais ce projet fut abandonné. La France pensa alors faire des tests nucléaires sur Clipperton et atomiser l'île mais le Mexique et les Etats-Unis, pays relativement proches de l'île, l'en dissuadèrent . Depuis, alors qu'un bâtiment de la marine française se rend une fois par an à Clipperton afin d'y manifester la souveraineté française,  des pêcheurs profitent illégalement de la zone économique exclusive. Régulièrement des expéditions se rendent sur Clipperton, comme celle que Jean-Louis Etienne organisa fin 2004 - début 2005 sur l'île de la Passion. Fin 2005 la ZEE de Clipperton fut mise sous exploitation par le haut-commissariat de la République Française en Polynésie française : pour plus de détails sur cet évènement, reportez vous à cette

de TTFR.

• Administration : La direction du territoire est confiée à un gouverneur nommé par le gouvernement français et à l'Assemblée territoriale de 20 membres élus pour cinq ans. Wallis et Futuna est une collectivité d'outre-mer représentée au Parlement français par un député et un sénateur. Ces institutions liées à l'Etat gouvernent avec les rois coutumiers des îles régnant chacun sur trois royaumes distincts : Uvéa (Wallis), Alo et Sigave (sur Futuna). Ce ne sont toutefois pas des monarchies héréditaires : les rois sont élus (voire éventuellement destitués) par les familles nobles, les alikis.  Le conseil territorial est composé des trois rois et de trois représentants désignés par le gouverneur et approuvés par l'Assemblée territoriale.      
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Description

Le territoire est composé de deux archipels - celui de Wallis et celui de Futuna - distants d'environ 200 km. Mata-Utu, le chef-lieu, est situé sur l'île de Wallis. La quasi-totalité des habitants sont d'origine polynésienne et de confession catholique.
• Villes principales : Mata-Utu, Sigave (ou Leava)
• Îles principales : Alofi, Futuna, Uvéa
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Histoire

Les îles voisines Futuna et Alofi ont été découvertes par deux navigateurs hollandais Schouten et Le Maire en 1616. L'île de Wallis (ou Uvéa) a été découverte par le capitaine anglais Samuel Wallis en 1766. Bougainville est le premier Français à visiter l'archipel en 1768. A la demande des rois des îles de Wallis et Futuna, l'archipel fut placé en 1887 sous protectorat français. Wallis et Futuna ont le statut de TOM depuis 1961.

• Administration : La direction du territoire est confiée à un gouverneur nommé par le gouvernement français et à l'Assemblée territoriale de 20 membres élus pour cinq ans. Wallis et Futuna est une collectivité d'outre-mer représentée au Parlement français par un député et un sénateur. Ces institutions liées à l'Etat gouvernent avec les rois coutumiers des îles régnant chacun sur trois royaumes distincts : Uvéa (Wallis), Alo et Sigave (sur Futuna). Ce ne sont toutefois pas des monarchies héréditaires : les rois sont élus (voire éventuellement destitués) par les familles nobles, les alikis.  Le conseil territorial est composé des trois rois et de trois représentants désignés par le gouverneur et approuvés par l'Assemblée territoriale.      
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Description

Le territoire est composé de deux archipels - celui de Wallis et celui de Futuna - distants d'environ 200 km. Mata-Utu, le chef-lieu, est situé sur l'île de Wallis. La quasi-totalité des habitants sont d'origine polynésienne et de confession catholique.
• Villes principales : Mata-Utu, Sigave (ou Leava)
• Îles principales : Alofi, Futuna, Uvéa
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Histoire

Les îles voisines Futuna et Alofi ont été découvertes par deux navigateurs hollandais Schouten et Le Maire en 1616. L'île de Wallis (ou Uvéa) a été découverte par le capitaine anglais Samuel Wallis en 1766. Bougainville est le premier Français à visiter l'archipel en 1768. A la demande des rois des îles de Wallis et Futuna, l'archipel fut placé en 1887 sous protectorat français. Wallis et Futuna ont le statut de TOM depuis 1961.

• Administration :
  - autonomie interne : assemblée territoriale de 57 membres qui élisent un Conseil des ministres et un président - délégué du gouvernement français - 2 députés et 1 sénateur élu au Parlement français - la Polynésie française a le statut de collectivité d'outre-mer et constitue un pays d'outre-mer au sein de la République. 
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Description

S'étendant sur une superficie maritime de 5 millions de km², soit la taille de l'Europe, les terres émergées de la Polynésie-Française ne représentent que 4200 km².
• Villes principales : Avatoru, Mataura, Papeete, Rikitea, Taiohae, Utuora
• Îles principales :
  • principales îles de l'archipel de la Société : Bellingshausen, Bora Bora, Huahine, Maupiti, Moorea, Mopelia, Raiatea, Scilly, Tahaa, Tahiti,  Tetiaroa
  • principales îles Australes : Maria, Marotiri, Raïvavae, Rapa, Rimatara, Rurutu, Tubuaï
  • principales îles Marquises : Eiao, Hatutaa, Hiva Oa, Nuku Hiva, Ua Pou
  • principales Tuamotu : Amanu,  Anaa, Fakarawa, Hao, Katiu, Manihi,  Rangiroa, Reao, Takaroa, Tatakoto, Tikehau, Vairaatea
  • principales Gambier : Fangataufa, Mangareva, Mururoa
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Histoire

Magellan est le premier européen à découvrir en 1521 quelques îles qui feront partie de la Polynésie-Française. C'est l'Anglais Samuel Wallis qui découvre Tahiti en 1767. 

• Histoire   

Informations générales

• Chef-lieu : Cayenne
• Coordonnées (1) : 4° N, 53° O
• Population(2) : 170000 habitants
• Superficie : 91000 km²
• ZEE (3) : 130140 km²
• Monnaie : euro
• Statut : Département et Région d'outre-mer
• Densité : 1.9 hab/km²

• Administration : Département d'outre-mer 
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Description

La côte est basse et marécageuse, peu hospitalière. L'intérieur, un gigantesque plateau est entièrement recouvert par la forêt vierge. La superficie des terres cultivables s'en trouve particulièrement réduite. La principale production commerciale est la crevette exportée vers la métropole. Mais la Guyane possède également des gisements miniers d'or et de bauxite.
• Villes principales : Cayenne, Dégrad des Cannes, Kourou, Saint-Georges, Saint-Laurent du Maroni, Saül
• Îles principales : îles du Salut (l'île du Diable, Royale, Saint-Joseph)
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Histoire

Explorée au début du XVIème siècle par le naviguateur Vicente Pinzon, la Guyane n'est colonisée qu'au début du XVIIème siècle par les Hollandais, puis par les Français. Cayenne est fondée en 1637 par des marins normands et les Français s'établissent dans la ville. Le traité d'Utrecht en 1713 reconnait la souveraineté de la France sur la Guyane. En 1968 est installé à Kourou un centre de lancement qui bénéficie à partir de 1983 du programme Ariane.

Les électeurs de Guyane

pour la création d'une collectivité unique pour l'île se substituant à la région et au département.

• Histoire   

Informations générales

• Chef-lieu : Marigot (ou Grand-Saint-Martin)
• Coordonnées (1) : 18°05 N, 63°05 O
• Population(2) : 28524 habitants
• Superficie : 54 km²
• ZEE (3) : 1000 km²
• Monnaie : euro
• Statut : Collectivité d'outre-mer
• Densité : 528.2 hab/km²

• Administration : L'île St Martin est divisée en deux zones : une zone au Sud appartenant aux Pays-Bas (39 km²) et une zone au Nord appartenant à la France  (54km²), collectivité d'outre-mer depuis 2007 (auparavant, la partie Nord de l'île Saint-Martin constituait la 27^ème commune du département de la Guadeloupe et formait deux cantons - l'un à l'ouest comprend entre autres le chef-lieu de l'île Marigot, mais aussi  la péninsule des Terres Basses et les localités de Sandy Ground, Saint-James, Concordia, Galisbay, le hameau du Pont et Agrément,  l'autre à l'est est constitué  de Cripple Gate, Rambaud, Colombier, Grand-Case, Cul-de-Sac, l'anse Marcel, la baie Orientale, le quartier d'Orléans et Oyster Pond - L'île faisait ainsi partie de l'arrondissement des îles du Nord. 
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Description

Saint-Martin est une île très touristique. Son chef-lieu, Marigot, est surplombé par un fort édifié en 1776 pour protéger l'île des attaques anglaises, le Fort Saint-Louis. A St Martin, on parle le Français et le Néerlandais ainsi que l'Anglais, l'Espagnol, l'Italien et le Portugais. Sociologiquement, il existe à Saint-Martin une minorité fortunée, enrichie grâce au développement du tourisme de masse. On note aussi la présence de nombreux immigrés clandestins venus d'Haïti au début des années 90 travaillant pour la plupart au noir dans le bâtiment et  résidant dans des logements précaires. De ce fait, Saint-Martin et ses inégalités sociales contraste avec

où la population riche est majoritaire.
• Villes principales : Colombier, Cul-de-Sac, Grand-Case, Marigot (ou Grand-Saint-Martin), Oyster Pand, Quartier-d'Orléans, Rambaud
• Îles principales : Grande-Terre (partie Est de St Martin), Les Terres Basses (partie Ouest de St Martin), île Pinel, île Tintamarre
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Histoire

L'île fut découverte en 1493 par Christophe Colomb qui la revendiqua pour l'Espagne. Les corsaires et flibustiers des Caraïbes réduisèrent en esclavage les autochtones de l'île qui furent souvent enlevés de St Martin pour travailler dans des îles voisines. En 1647, les Espagnols, jugeant l'île trop petite, abandonnèrent celle-ci. En 1648, l'île n'était occupée que par quatre Français et cinq Hollandais. Ceux-ci se partagèrent la souveraineté de l'île par le Traité du Mont des Accords à la suite d'une course à pied : un coureur néerlandais et un coureur français partirent chacun à une extrémité pour se rejoindre. Le Français ayant effectué une distance plus longue, la zone française fut dotée d'une superficie supérieure à la néerlandaise (environ les 3/5 de l'île). On raconte que le coureur français, un peu ivre, aurait pris des raccourcis lors de sa course... Et depuis 1648, l'île est ainsi partagée entre les Néerlandais et les Français, la frontière entre les deux parties étant juste administrative car un accord de libre circulation entre les deux zones fut compris dans cette convention de 1648. La partie française de l'île devint une seigneurie des chevaliers de Malte de 1651 à 1665. Cette même partie française fut alors rattachée à St Christophe. Français et Hollandais durent ensuite faire face à d'incessantes attaques anglaises qui occupèrent toute l'île de 1690 à 1699. L'île fut ensuite complètement occupée par la France jusqu'en 1703 où les Britanniques occupèrent la partie française. Lors du traité d'Utrecht (1713), l'île antillaise de St Christophe fut cédée par la France au Royaume-Uni. L'île St Martin alors rattachée à St Christophe resta isolée de nombreuses années, occupée par les Anglais, avant d'être rattachée par la France à la Guadeloupe en 1763. L'île fut alors successivement entièrement occupée par la France, par les Hollandais, par les Français de nouveau puis par les Britanniques avant que la situation de 1648 (deux parties, une française et l'autre néerlandaise) ne soit restaurée, en 1816. Lors d'un référendum en décembre 2003, les habitants de l'île décidèrent de doter St Martin d'un nouveau statut de collectivité d'outre-mer qui prit effet en 2007. Détachée de la Guadeloupe, l'île Saint-Martin pourrait devenir au niveau européen un

.

• Histoire   

Informations générales

• Chef-lieu : Gustavia (Carenage jusqu'en 1785)
• Coordonnées (1) : 17°5 N, 62°5 O
• Population(2) : 6852 habitants
• Superficie : 21 km²
• ZEE (3) : 4000 km²
• Monnaie : euro
• Statut : Collectivité d'outre-mer
• Densité : 326.3 hab/km²

• Administration : L'île St Barthélemy est une collectivité d'outre-mer. 
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Description

L'île, très montagneuse, est habitée en majorité par les descendants des colons normands et bretons. L'agriculture est peu développée en raison de l'aridité du sol. La principale activité économique de l'île est le tourisme de luxe.
• Villes principales : Colombier, Corossol, Gustavia, Lorient, Marigot, Saint-Jean
• Îles principales : île Chevreau, Coco, île Fourchue (important mouillage de plaisance), île Frégate, La Tortue, île Le Boulanger, Les Grenadins, Pain de Sucre, île Pelé, île Petit Jean, île St Barthélemy, Toc Vers
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Histoire

Saint-Barthélemy fut découverte par Christophe Colomb en 1493 qui la revendiqua pour l'Espagne. La première colonisation française eut lieu à Lorient en 1648. Gouvernée par les chevaliers de Malte de 1651 à 1656, l'île fut abandonnée jusqu'en 1659. Redevenant alors colonie française, Saint-Barthélemy fut cédée par Louis XVI à Gustaf III de Suède en 1785. En hommage à celui-ci, qui dispensa les Saint-Barths d'impôts, le chef-lieu de l'île fut renommé en Gustavia. Ce n'est que le 16 mars 1878 que les Suédois revendront l'île à la France et que cette dernière sera rattachée à la Guadeloupe. Les habitants de l'île, lors d'un référendum aux Antilles en décembre 2003, ont voté à 95% pour un changement de statut de l'île qui devient ainsi en 2007 une collectivité d'outre-mer. St Barthélémy deviendra sans doute alors au niveau européen un

.

• Histoire   

Informations générales

• Chef-lieu : Basse-Terre
• Coordonnées (1) : 16°15 N, 61°35 O
• Population(2) : 440000 habitants
• Superficie : 1702 km²
• ZEE (3) : 86000 km²
• Monnaie : euro
• Statut : Département et Région d'outre-mer
• Densité : 258.5 hab/km²

• Administration : Département d'outre-mer 
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Description

L'agriculture est le principal secteur économique; la canne à sucre (50% de la production agricole de la Guadeloupe) est l'une des grandes cultures d'exportation. Le tourisme est une importante source de richesse pour la Guadeloupe.
• Villes principales : Basse-Terre, Grand-Bourg, Grande-Anse, Marigot, Pointe-à-Pitre
• Îles principales : Basse-Terre, Grande-Terre, Îles de la Petite Terre, îles des Saintes, La Désirade, Marie-Galante
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Histoire

Découverte par Christophe Colomb en 1493, la Guadeloupe devient française en 1635. Comme en

, le sinistre commerce triangulaire a fourni des esclaves pour travailler dans les plantations de canne à sucre. En 1946, la Guadeloupe reçoit le statut de DOM.

• Histoire   

Informations générales

• Chef-lieu : Fort-de-France
• Coordonnées (1) : 14°40 N, 61° O
• Population(2) : 394000 habitants
• Superficie : 1128 km²
• ZEE (3) : 47000 km²
• Monnaie : euro
• Statut : Département et Région d'outre-mer
• Densité : 349.3 hab/km²

• Administration : Département d'outre-mer 
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Description

La Martinique, surnommée l'île aux fleurs, est une île volcanique. La montagne Pelée est l'un des volcans les plus actifs du monde. La banane est la principale production de l'île. Le tourisme a permis à la Martinique de retrouver son dynamisme.
• Villes principales : Fort-de-France, Le Marin, Le Robert, La Trinité, Le Vauclin, Marigot, Rivière-Salée, Saint-Pierre, Schoelcher
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Histoire

Découverte en 1502 par Christophe Colomb lors de son quatrième voyage, la Martinique devient la possession de la France en 1635. Le développement de l'île est falicité par la mise en place du sinistre commerce triangulaire qui entraîne la venue d'esclaves pour les plantations. La Martinique devient DOM en 1946. Les électeurs martiniquais

pour la création d'une collectivité unique pour l'île se substituant à la région et au département.

• Administration : Trois assemblées de province et un congrès du territoire servent à administrer la Nouvelle-Calédonie qui forme une collectivité sui generis et a le statut de Pays d'outre-mer. 
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Description

L'économie de la Nouvelle-Calédonie repose sur des activités diversifiées. L'agriculture a un rôle important : cultures de subsistances subtropicales (patate douce, taro, manioc...), plantations de café et de cocotiers, élevage d'ovins et de chèvres. La richesse du territoire est due au nickel qui s'y trouve (4/5 des exportations de la Nouvelle-Calédonie , troisième producteur de nickel du monde). Le tourisme joue un rôle de plus en plus important dans l'économie de ce territoire.
• Villes principales : Bourail, Fayaoué, Hienghéné, Koné, Nouméa, Poindimié, Poum, Tadinu, Thio, Ubatche
• Îles principales : îles Belep, îles Chesterfield, Grande-Terre, Huon, îles Loyauté (Lifou, Maré, Ouvéa, Tiga), Matthew et Hunter, île des Pins, Walpole
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Histoire

Découverte par le navigateur britannique James Cook pendant sa seconde expédition en 1772-1773, la Nouvelle-Calédonie que Cook nomma ainsi fut visitée par le navigateur français d'Entrecasteaux en 1793. En 1853, l'amiral Febvrier Despointes prend possession de l'île au nom de la France. L'île devient un territoire d'outre-mer en 1946 et bénéficie d'un statut d'autonomie interne depuis 1984. Après une première prise de gendarmes en otages par des indépendantistes le 22 février 1988, gendarmes libérés le lendemain, un évènement sanglant eut lieu en Nouvelle-Calédonie : 27 gendarmes furent cette fois pris en otage sur l'île d'Ouvéa et une opération pour les libérer se solda par la mort de 19 séparatistes, de 4 gendarmes et de 2 militaires. A la suite des

signés le 26 juin 1988 et adoptés par refendum national le 3 novembre 1988 un référendum local sur l'indépendance de ce la Nouvelle-Calédonie devait être organisé en 1998. Il a été reporté et aura lieu entre 2014 et 2018. Pour plus de détails sur cette consultation, vous pouvez consultez ce

, toujours sur TTFR.

Carte de Nouvelle-Calédonie

• Histoire   

Informations générales

• Chef-lieu : Mamoudzou
• Coordonnées (1) : 12°50 S, 45°10 E
• Population(2) : 178000 habitants
• Superficie : 374 km²
• ZEE (3) : 62000 km²
• Monnaie : euro
• Statut : Département et Région d'outre-mer
• Densité : 475.9 hab/km²

• Administration : Mayotte est une département d'outre-mer depuis 2011. Deux statuts juridictionnels peuvent être choisis : le statut de droit commun républicain ainsi qu'un statut personnel, réservé aux musulmans originaires des Comores (qui peuvent y renoncer pour se placer sous le statut de droit commun) ; la justice est rendue dans ce cas par des cadis, s'appuyant sur des règles mahoraises inspirées par l'islam. Mayotte compte 17 communes administratives regroupant des villages. 
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Description

Île densément peuplée (252 habitants au km² en 1990). Les villes principales sont Mamoudzou (centre économique) ainsi que Dzaoudzi (chef-lieu administratif) située sur un îlot du même nom à l'est de l'île principale. La grande majorité des Mahorais sont de confession musulmane.
• Villes principales : Acoua, Bandrélé, Bouéni, Dzaoudzi, Koungou, Mamoudzou, Pamandzi, Sada
• Îles principales : shisiwa  Brandele, shisiwa  Mbouzi, shisiwa  Mtsamboro, Grande-Terre, Petite-Terre
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Histoire

Découverte au XVIème siècle par le portugais Diego Ribeiro, Mayotte est conquise par le roi de Madagascar en 1831. Vendue à la France en 1841, l'île reste française en 1975 contrairement aux autres îles des Comores qui choisissent l'indépendance. En 1976, Mayotte devient une collectivité territoriale à caractère départemental. D'ici 2010, Mayotte pourrait devenir un département d'outre-mer et peut-être par la même occasion acquérir le statut européen de

.

• Histoire   

Informations générales

• Chef-lieu : -
• Coordonnées (1) : 11°30 S, 47°20 E
• Population(2) : 15 habitants
• Superficie : 5 km²
• ZEE (3) : 48350 km²
• Statut : Territoire d'outre-mer
• Densité : 3 hab/km²

• Administration : Depuis le 3 janvier 2005, les Îles Glorieuses sont administrées par le préfet, administrateur supérieur des TAAF ;  comme les autres îles éparses, c'est un domaine public de l'Etat. 
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Description

Les îles Glorieuses sont une possession française depuis 1892. Elles sont composées de deux îles abondantes en végtétation (l'île Glorieuse et l'île du Lys qui est déserte) et de trois îlots rocheux. Une garnison militaire occupe l'île Glorieuse depuis 1973. Celle-ci est également habitée par un gendarme. Une station météorologique automatique est présente sur l'île. Il y a aussi un petit terrain d'aviation. Les îles Glorieuses sont classées réserve naturelle.
• Îles principales : Grande Glorieuse, Île du Lys, les Roches Vertes et le banc (sous-marin) du Geyser, inclu dans la ZEE des îles Glorieuses
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Histoire

Sans doute découvertes dès le début du 16ème siècle par les bateaux de rendant aux Indes, les îles Glorieuses sont françaises depuis 1892.

• Histoire   

Informations générales

• Chef-lieu : -
• Coordonnées (1) : 17°03 S, 42°45 E
• Population(2) : 15 habitants
• Superficie : 4 km²
• ZEE (3) : 61050 km²
• Statut : Territoire d'outre-mer
• Densité : 3.8 hab/km²

• Administration : Depuis le 3 janvier 2005, Juan de Nova est administré par le préfet, administrateur supérieur des TAAF ; comme les autres îles éparses, c'est un domaine public de l'Etat. 
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Description

Juan de Nova, autrefois nommée île Saint-Christophe, est une île en forme de croissant protégée par une barrière corallienne.

Actuellement Juan de Nova est habitée par une petite garnison militaire, un gendarme et quelques météorologistes qui s'occupent du bon fonctionnement de la station présente sur l'île. Il y a sur celle-ci une piste pour avion. L'île est classée réserve naturelle. Actuellement Juan de Nova se détériore lentement, très probablement à cause du réchauffement climatique.

Histoire

Découverte par le capitaine JUAN DE NOVA en 1501, Juan de Nova est une possession française depuis 1897. Elle a été exploitée pour son guano et son phosphate.

• Histoire   

Informations générales

• Chef-lieu : -
• Coordonnées (1) : 15°52 S, 54°25 E
• Population(2) : 5 habitants
• Superficie : 1 km²
• ZEE (3) : 280000 km²
• Statut : Territoire d'outre-mer
• Densité : 5 hab/km²

• Administration : Depuis le 3 janvier 2005, l'île Tromelin est administrée  par le préfet, administrateur supérieur des TAAF ; comme les autres îles éparses, c'est un domaine public de l'Etat. 
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Description

Tromelin, jadis appelée île de Sable, abrite une importante station météorologique. Les quelques météorologistes qui s'occupent de cette station sont les seules personnes qui vivent sur l'île. Il y a une piste d'atterrissage pour avions. La flore y est assez pauvre. Classée réserve naturelle, Tromelin abrite des tortues de mer et on y trouve de nombreux oiseaux de mer.

Histoire

Tromelin fut découvert en 1722 par le vaisseau français "La Diane" et explorée pour la première fois en 1776 par le Chevalier de Tromelin.

• Histoire   

Informations générales

• Chef-lieu : -
• Coordonnées (1) : 21°27 S, 39°45 E
• Population(2) : inhabité
• Superficie : 1 km²
• ZEE (3) : 123700 km²
• Statut : Territoire d'outre-mer
• Densité : 0 hab/km²

• Administration : Depuis le 3 janvier 2005, Bassas da India est administré par le préfet, administrateur supérieur des TAAF ; comme les autres îles éparses, c'est un domaine public de l'Etat. 
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Description

Bassas da India se présente comme une couronne de récifs coralliens. L'île est un minuscule atoll en formation d'une douzaine de km² à marée basse, d'une dizaine de kilomètres de diamètre. Au centre de l'île se trouve un lagon peu profond. A marée haute, l'île est presque intégralement recouverte par la mer.  Bassas da India fait profiter la France d'une Zone Economique Exclusive de 123 700 km².

Histoire

Sans doute découverte par un Portugais, Gonsuales, cette île du canal du Mozambique est française depuis le 31 octobre 1897.

• Histoire   

Informations générales

• Chef-lieu : -
• Coordonnées (1) : 17°03 S, 42°45 E
• Population(2) : 15 habitants
• Superficie : 4 km²
• ZEE (3) : 61050 km²
• Statut : Territoire d'outre-mer
• Densité : 3.8 hab/km²

• Administration : Depuis le 3 janvier 2005, Juan de Nova est administré par le préfet, administrateur supérieur des TAAF ; comme les autres îles éparses, c'est un domaine public de l'Etat. 
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Description

Juan de Nova, autrefois nommée île Saint-Christophe, est une île en forme de croissant protégée par une barrière corallienne.

Actuellement Juan de Nova est habitée par une petite garnison militaire, un gendarme et quelques météorologistes qui s'occupent du bon fonctionnement de la station présente sur l'île. Il y a sur celle-ci une piste pour avion. L'île est classée réserve naturelle. Actuellement Juan de Nova se détériore lentement, très probablement à cause du réchauffement climatique.

Histoire

Découverte par le capitaine JUAN DE NOVA en 1501, Juan de Nova est une possession française depuis 1897. Elle a été exploitée pour son guano et son phosphate.

• Histoire   

Informations générales

• Chef-lieu : -
• Coordonnées (1) : 22°20 S, 40°22 E
• Population(2) : 15 habitants
• Superficie : 28 km²
• ZEE (3) : 127300 km²
• Statut : Territoire d'outre-mer
• Densité : 0.5 hab/km²

• Administration : Depuis le 3 janvier 2005, l'île d'Europa est administrée par le préfet, administrateur supérieur des TAAF ; comme les autres îles éparses, c'est un domaine public de l'Etat. 
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Description

Il y a une station météorologique bâtie en 1981 et une piste d'atterrissage pour avion amménagée en 1973 sur l'île. Une petite garnison militaire française est présente sur Europa. L'île est également habitée par un gendarme et quelques météorologistes qui s'occupent de la station. L'île est très boisée et est classée réserve naturelle.

Histoire

• Administration : Formant avec les autres TAAF un territoire d'outre-mer de la France depuis 1955, Les îles Crozet sont administrées par un Administrateur Supérieur représentant le Gouvernement. 
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Description

L'archipel est composé de cinq îles principales : l'Île de la Possession, l'Île de l'Est, les Îles des Pingouins, l'île aux Cochons et les îles des Apôtres. Le climat est océanique, très humide et frais. Une station météorologique est installée sur la base Alfred-Faure, dans l'île de la Possession. Crozet a pour seule population les membres des missions scientifiques.
• Îles principales : Îles des Apôtres, Île aux Cochons, Île de l'Est, Île de la Possession, Îles des Pingouins
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Histoire

L'archipel a été découvert en 1773 par Crozet et Marion-Dufresne.

Carte de Archipel des Crozet

• Histoire   

Informations générales

• Chef-lieu : Martin de Viviès
• Coordonnées (1) : 37°50 S, 77°31 E
• Population(2) : 20 habitants
• Superficie : 60 km²
• ZEE (3) : 205000 km²
• Statut : Territoire d'outre-mer
• Densité : 0.3 hab/km²

• Administration : Formant avec les autres TAAF un territoire d'outre-mer de la France depuis 1955, Nouvelle-Amsterdam est administrée par un Administrateur Supérieur représentant le Gouvernement. 
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Description

D'origine volcanique, l'île Nouvelle-Amsterdam (aussi nommée "île Amsterdam") abrite une station scientifique permanente.

• Histoire   

Informations générales

• Chef-lieu : -
• Coordonnées (1) : 38° S, 77°32 E
• Population(2) : inhabité
• Superficie : 7 km²
• ZEE (3) : 260000 km²
• Statut : Territoire d'outre-mer
• Densité : 0 hab/km²

• Administration : Formant avec les autres TAAF un territoire d'outre-mer de la France depuis 1955, Saint-Paul est administré par un Administrateur Supérieur représentant le Gouvernement. 
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Description

L'île Saint-Paul est d'origine volcanique. La végétation y est assez dense. Au centre de l'île se trouve un grand cratère avec des sources d'eau chaude.
• Îles principales : Ilot Nord, Rocher Quille, Saint-Paul
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Histoire

Saint-Paul fut découvert en 1522 par l'expédition de Magellan.

• Administration : Trois assemblées de province et un congrès du territoire servent à administrer la Nouvelle-Calédonie qui forme une collectivité sui generis et a le statut de Pays d'outre-mer. 
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Description

L'économie de la Nouvelle-Calédonie repose sur des activités diversifiées. L'agriculture a un rôle important : cultures de subsistances subtropicales (patate douce, taro, manioc...), plantations de café et de cocotiers, élevage d'ovins et de chèvres. La richesse du territoire est due au nickel qui s'y trouve (4/5 des exportations de la Nouvelle-Calédonie , troisième producteur de nickel du monde). Le tourisme joue un rôle de plus en plus important dans l'économie de ce territoire.
• Villes principales : Bourail, Fayaoué, Hienghéné, Koné, Nouméa, Poindimié, Poum, Tadinu, Thio, Ubatche
• Îles principales : îles Belep, îles Chesterfield, Grande-Terre, Huon, îles Loyauté (Lifou, Maré, Ouvéa, Tiga), Matthew et Hunter, île des Pins, Walpole
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Histoire

Découverte par le navigateur britannique James Cook pendant sa seconde expédition en 1772-1773, la Nouvelle-Calédonie que Cook nomma ainsi fut visitée par le navigateur français d'Entrecasteaux en 1793. En 1853, l'amiral Febvrier Despointes prend possession de l'île au nom de la France. L'île devient un territoire d'outre-mer en 1946 et bénéficie d'un statut d'autonomie interne depuis 1984. Après une première prise de gendarmes en otages par des indépendantistes le 22 février 1988, gendarmes libérés le lendemain, un évènement sanglant eut lieu en Nouvelle-Calédonie : 27 gendarmes furent cette fois pris en otage sur l'île d'Ouvéa et une opération pour les libérer se solda par la mort de 19 séparatistes, de 4 gendarmes et de 2 militaires. A la suite des

signés le 26 juin 1988 et adoptés par refendum national le 3 novembre 1988 un référendum local sur l'indépendance de ce la Nouvelle-Calédonie devait être organisé en 1998. Il a été reporté et aura lieu entre 2014 et 2018. Pour plus de détails sur cette consultation, vous pouvez consultez ce

, toujours sur TTFR.

Carte de Nouvelle-Calédonie Retour en haut